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DE CŒUR

image d'un cœur stylisé
Encore une nuit de merde dans cette ville pourrie

Encore une nuit de merde dans cette ville pourrie

Nick Flynn

Traduit de l'anglais (États-Unis) par Anne-Laure Tissut

9,20 euros

Editions Gallimard

« J'ai travaillé auprès des sans-abri de 1984 à 1990. En 1987, mon père s'est trouvé à la rue, est resté sans-abri près de cinq ans. » 
Nick Flynn n'avait pas connu son père. Ce dernier, écrivain sans œuvre un brin mythomane, menait une vie de bohème et de petits trafics, tandis que son fils, lui-même apprenti poète, traversait une jeunesse instable et ponctuée de drames. Jusqu'à leur rencontre dans un asile pour SDF de Boston. Les souvenirs affluent alors, en désordre, à l'image d'un roman familial chaotique. 

 

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Détroit, vestige du rêve américain

Détroit, vestige du rêve américain

Yves Marchand et Romain Meffre

88 euros

Editions Steild

Les photographes Yves Marchand et Romain Meffre ont passé des mois à photographier la ville américaine de Detroit, ou plutôt ce qu’il en reste : un vaste champ de ruines : « Les ruines sont les symboles visibles et les repères de nos sociétés et de leur évolution. Elles sont une situation temporaire qui se produit à un moment donné, le résultat volatile d’un changement d’époque, de la chute des empires. »

 

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À travers un trou d'aiguille

À travers un trou d'aiguille

Peter Brown

Traduit de l'anglais par Béatrice Bonne

29,50 euros

Editions Les Belles Lettres

Jésus enseigna à ses disciples qu'il était plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d’entrer dans le royaume des cieux. Or, à l’époque de la chute de Rome, l’Église était devenue démesurément riche.
 À travers un trou d’aiguille est l’histoire intellectuelle et sociale du problème épineux que cette richesse posa au christianisme dans un empire en train d'imploser sous l’effet d’une crise majeure.
Peter Brown, spécialiste mondial de l’Antiquité tardive, analyse, avec une humanité pleine de sagesse, les défis posés par l’argent à une institution qui épousait la vertu de pauvreté.

 

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Camarade Papa

Camarade Papa

Gauz

Editions Le Nouvel Attila

19 Euros

1880. Un jeune homme, Dabilly, fuit la France et une carrière toute tracée à l’usine pour tenter l’aventure coloniale en Afrique. Dans une « Côte de l’Ivoire » désertée par l’armée française, quelques dirigeants de maisons de commerce négocient avec les tribus pour faire fructifier les échanges et établir de nouveaux comptoirs. Sur les pas de Dabilly, on découvre une terre presque inexplorée, ses légendes, ses pactes et ses rituels…
Un siècle plus tard, à Amsterdam, un gamin d’origine africaine raconte le monde postcolonial avec le vocabulaire de ses parents communistes. Lorsque ceux-ci l’envoient retrouver sa grand-mère et ses racines en Afrique, il croise les traces et les archives de son ancêtre.
Ces deux regards, celui du blanc sur l’Afrique et celui du noir sur l’Europe, offrent une histoire de la colonisation comme on ne l’a jamais lue. Gauz fait vivre des personnages tout en contrastes, à la lumière solaire, dans une fresque ethnologique pétrie de tendresse et d’humour.

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Olivier Besancenot & Michael Löwy

Olivier Besancenot & Michael Löwy

Autour de leur livre La journée de travail et le "règne de  la liberté" publié aux éditions Fayard.

 

Rendez-vous le vendredi 16 novembre à 19h00

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Catherine Poulain

Catherine Poulain

Autour de son dernier livre "Le Coeur Blanc" publié aux Editions de l'Olivier

 

Rendez-vous le mercredi 05 décembre à 19h00

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Joseph Ponthus

Joseph Ponthus

autour de son livre

"A la ligne. Feuillets d'usine"

publié aux Editions La table ronde.

 

"C’est l’histoire d’un ouvrier intérimaire qui embauche dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons. Jour après jour, il inventorie avec une infinie précision les gestes du travail à la ligne, le bruit, la fatigue, lesrêves confisqués dans la répétition de rituels épuisants, la souffrance du corps. Ce qui le sauve, c’est qu’il a eu une autre vie. Il connaît les auteurs latins, il a vibré avec Dumas, il sait les poèmes d’Apollinaire et les chansons de Trenet. C’est sa victoire provisoire contre tout ce qui fait mal, tout ce qui aliène.

 

Rendez-vous le vendredi 24 janvier 2020 à partir de 19h00

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